Chers Amis,
Face à la perplexité de notre monde et de façon à mettre en œuvre la vocation qui est la nôtre au sein de notre organisation humanitaire, nous agissons en nous immergeant au cœur de la réalité.
Afin de sauver l’enfant en souffrance, afin de l’éduquer, nous prenons autant en compte ses urgences que celles de son environnement et, avec nos équipes locales, nous œuvrons à l’amélioration de son monde. C’est pourquoi, chacun de nos projets est étudié en amont puis réalisé de telle sorte que nos bénéficiaires trouvent dans les résultats de nos actions une véritable innovation sociétale.
Une école construite par Mission Enfance, en Afghanistan, doit tendre à accueillir une proportion égale de garçons et de filles (dont la scolarité s’interrompt dès la puberté). D’où notre financement d’enseignantes féminines pour permettre la poursuite de leur scolarité et offrir, enfin, l’accès au baccalauréat pour les jeunes filles de la vallée du Panjshir.
Devant le dénuement pédagogique des nurses du Burkina Faso, nous allons construire et faire fonctionner un centre de formation du personnel d’accueil des orphelins et des enfants abandonnés. Une première dans ce pays ! Nous ne pouvons pas, chez nous, prôner qu’à l’âge de 6 ans “tout est joué” et ignorer la construction du bébé abandonné dans la brousse…
Notre expertise, depuis 22 ans, nous permet de répondre au plus juste des besoins de ceux qui appellent notre secours et d’essayer de leur procurer les mêmes chances, les mêmes soins qu’aux nôtres !
Nous tentons de soulager la détresse des enfants qui subissent la guerre de Syrie, et dont vous parlera notre directrice dans les pages qui suivent. Je suis certaine, Chers Amis donateurs, que vous ne resterez pas insensibles à notre appel d’urgence pour ces milliers de victimes qui attendent tout de nous…
D’avance, je vous adresse toute ma reconnaissance,